Quelle solutions pour rendre sa maison plus écolo ?

La maison individuelle fait parfois l’objet de débats sur son rapport à l’environnement. Mais la qualité écologique d’une construction est avant tout le résultat de pratiques concrètes : une bonne isolation reste le critère primordial d’un logement, quel que soit sa typologie.
A l’occasion d’une rénovation, une maison individuelle offre bien plus de leviers d’amélioration énergétique qu’un logement collectif, à condition, cependant, de privilégier quelques interventions ciblées…

Booster la performance de l’enveloppe

Les murs et le toit laissent passer plus de la moitié des calories. Les interventions doivent donc s’exercer prioritairement sur les parois dites opaques.
Hautement performante, l’isolation thermique extérieure procure une protection optimale, c’est-à-dire sans ponts thermiques ; elle limite aussi le besoin en climatisation.
Un isolant de façade ETIXX31, par exemple, peut tripler la résistance thermique initiale d’un mur et, ainsi, maximiser le rapport confort/énergie du logement.

De même, l’isolation des combles est une étape incontournable. S’il s’agit de combles perdus, il faudra, là encore, privilégier des solutions sans ponts thermiques, telles que le SOLIVBOX, pour optimiser la performance globale.

Gagner en performance énergétique globale en isolant les planchers

 

Avant de procéder au changement des menuiseries, il y a peut-être une intervention peu couteuse qui peut améliorer sensiblement le bilan énergétique. Environ une maison sur deux est construite sur vide sanitaire. Les sous-faces de plancher sont rarement isolées. Un gain de 10% peut être obtenu en isolant les hourdis et les refends, par l’emploi de l’isolant DECOBOX. Cette opération est également recommandée pour les hauts de garages et de sous-sol situés sous des parties habitables.

 

De grandes marges de manœuvre énergétiques

 

La rénovation d’une maison individuelle apporte des gains énergétiques souvent supérieurs à ceux obtenus en logement collectif.
En moyenne, un logement non rénové (individuel ou collectif) affiche une consommation d’énergie primaire de 280 KW/h/m²/an. Ce niveau peut être divisé par trois lorsque l’on procède à la réhabilitation globale d’une maison individuelle ; c’est rarement le cas, lorsqu’il s’agit d’un ensemble collectif, où les gains oscillent entre 30% et 50%.
La configuration des maisons individuelles étant simple, les interventions s’appréhendent sans difficultés. En effet, ni encorbellement, ni allèges filantes ne compliquent les travaux en façade.
De même, l’isolation des sous-faces de planchers ne rencontre pas la complexité d’un enchevêtrement de canalisations.
En matière d’amélioration énergétique, la maison individuelle autorise donc d’importantes marges de manœuvre. A cet égard, le potentiel écologique de ce type d’habitat mérite d’être mieux perçu. Car la sobriété énergétique que confèrent les travaux de réhabilitation est y généralement plus grande que pour le logement collectif.

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