Chantier isolation ETIXX 31

Comment rendre l’isolation thermique extérieure plus économique ?

La transition énergétique du Bâtiment poursuit deux buts essentiels : la compatibilité des constructions avec les enjeux environnementaux et la réduction des coûts d’exploitation. Cette dernière est indiscutablement liée aux stratégies qui visent à limiter les consommations d’énergie non renouvelable et passe nécessairement par l’isolation. Les bâtiments non-isolés ne sont désormais plus conformes aux exigences réglementaires. Ne pouvant recourir exclusivement aux énergies renouvelables, leurs dépendances vis-à-vis de fluides polluants et coûteux est certaine. Ce constat témoigne du chemin parcouru : les réglementations thermiques successives ont d’abord amené les professionnels du

 

Bâtiment à ne plus seulement considérer l’isolation sous l’angle du confort. La conformité réglementaire a également fait valoir des réductions de dépenses bien quantifiables, en limitant la facture énergétique des logements les mieux isolés.

 

Incontestablement, l’avantage économique est un aspect décisif qui permet d’accélérer la transition énergétique des bâtiments. Architectes, économistes et thermiciens mettent toujours en avant des gains dans leurs discussions avec les Maîtres d’Ouvrage. La maîtrise des coûts, notamment en ce qui concerne l’exploitation des bâtiments, reste une question centrale dans les différentes phases d’un projet. Cette préoccupation est également présente en ce qui concerne le choix des matériaux : les meilleurs produits se distinguent, non seulement par leurs performances, mais aussi par leurs adaptations aux contraintes des chantiers. Les matériaux doivent si possible participer à la réduction des temps de main d’œuvre sans jamais compromettre la qualité des réalisations.

Isolation thermique extérieure : les coûts de mise en œuvre en question

 

À l’instar de nombreuses techniques du second œuvre, l’isolation thermique extérieure se caractérise par la mise en œuvre de produits standardisés sur un bâti bien figé. Cette mise en œuvre est une tâche dévolue à des opérateurs adroits et expérimentés. Ceux-ci doivent, par leur savoir-faire, assurer la performance de l’ouvrage et la qualité des finitions. L’expertise et la dextérité des opérateurs sont les clés de la réussite mais elles ont aussi leurs limites, car le facteur humain induit la fatigue, le relâchement, la perte d’attention, etc… Certaines opérations mériteraient par conséquent d’être allégées par l’emploi de matériaux optimisés, réduisant du même coup les risques techniques sur l’ouvrage.

Les opérations de ponçage, par exemple, courantes lors d’une isolation thermique extérieure, représentent 15 % du coût de main d’œuvre. Cette étape fastidieuse est effectuée manuellement. La planéité de l’enveloppe extérieure doit être fréquemment contrôlée par l’opérateur, car un enduit mince ne peut masquer les irrégularités apparaissant à la surface des isolants. Il faut donc procéder à de coûteuses reprises manuelles, ce qui laisse parfois quelques traces visibles : les finitions examinées à la lumière dite « rasante » font assez souvent apparaître des zones de la façade sur lesquelles le ponçage a été excessif. La main de l’opérateur n’ayant pas la régularité d’une machine, les aléas de chantiers, jusqu’à présent, semblaient inévitables.

Assurer la meilleure finition des isolations thermiques extérieurs, tout en réduisant les coûts

 

Les professionnels de l’ITE ont parfois déploré une certaine versatilité des isolants de façade. En effet, certaines plaques présentaient le fâcheux désavantage d’être légèrement gauchies lorsqu’elles arrivaient sur les chantiers. Ces défauts apparaissaient de façon aléatoire mais, une fois posées, occasionnaient néanmoins un surcroît de ponçage plus ou moins important. Le comportement particulier de la matière des isolants semblait en être la cause. Par ailleurs, la stabilité dimensionnelle, caractéristique conditionnant notamment le pouvoir couvrant des enduits, était constamment l’objet de contrôles assidus effectués par les fabricants. Tout ceci semblait indiquer que quelques améliorations attendaient inévitablement les isolants de façades.

Prendre la mesure des complexités qu’occasionnaient ces imperfections constituait la première étape d’une démarche innovante : la suppression des surcroîts de ponçage devait immanquablement limiter le coût des réalisations et le risque d’insatisfaction en matière de finitions. Il s’agissait donc d’améliorer les propriétés intrinsèques des matériaux pour rendre leur mise en œuvre plus compétitive, sans rien concéder sur le plan de la qualité.

 

 

La technologie Isobox isolation permet d’atteindre un double objectif économique et qualitatif !

 

S’appuyant sur son expérience de la transformation des plastiques pour le Bâtiment, ISOBOX ISOLATION a sélectionné une technologie reconnue pour ses qualités techniques. La fabrication des isolants ETIXX se fait désormais par un procédé matriçant individuellement les produits. Cette technologie assure à l’isolation une planéité constante d’un bout à l’autre d’une façade. Ainsi, les opérations de ponçage sont fortement diminuées, voire supprimées, ce qui représente un avantage économique incontestable.

 

En outre, la stabilité dimensionnelle (S5) est optimale et fiabilise la qualité des revêtements de finition. La technologie ISOBOX ISOLATION permet également d’imprimer, sur la face de l’isolant, un état de surface spécifique sécurisant la tenue des enduits.

 

Les véritables innovations renforcent presque toujours la maîtrise des coûts. Les qualités des isolants ETIXX ne tournent pas le dos aux réalités économiques. Bien au contraire, un avantage tel que la restriction des opérations de ponçage se concrétise par des gains immédiats. Toute réduction du temps de mise en œuvre implique déjà une meilleure profitabilité pour les entreprises. Elle laisse également entrevoir une amélioration de la compétitivité pour le plus grand bénéfice des maîtres d’ouvrage. Sans transiger sur la qualité et la performance des réalisations, l’optimisation des produits de construction doit avant tout répondre à des préoccupations économiques bien comprises par tous les acteurs de la filière.

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